Les journalistes de mode qui ont redige des  articles en redactionnel sur les creations de Constance Le Gonidec

CONSTANCE LE GONIDEC a bénéficié de publications en "rédactionnel", grâce à l'intérêt que son travail a suscité auprès des médias spécialisés dans la mode et le mariage. Ce sont les journalistes qui ont choisi de parler des créations de Constance et de publier ses modèles. Les publications de presse rédactionnelles sont une véritable reconnaissance. Bon nombre de talents passent à côté d'une valorisation médiatique et les revues de presse ne suffisent pas à donner l'étendue d'un cursus professionnel. Quoiqu'il en soit, c'est toujours un plaisir non dissimulé que de voir son travail apprécié et reconnu. Que soient remerciés ces journalistes sensibles à la beauté et qui la diffusent.

Les journalistes qui ont choisi de parler de Constance Le Gonidec

L'EXPRESS, déc. 2000

Illustration principale de L'EXPRESS, déc. 2000 Illustration de l'article paru dans L'EXPRESS, déc. 2000
Constance Le Gonidec
Coupes impeccables, mais pas de dictature de la mode chez la styliste lilloise

Elle a la fougue et la poigne de ceux qui ont dû se battre. Constance Le Gonidec, brunette de 37 ans à l'allure juvénile, natte interminable glissant le long du dos, n'est styliste à son compte que depuis quatre ans. Malgré un passage à Esmod Paris et un BTS de création textile, elle n'a pas débuté dans la mode. Elle a d'abord été styliste industrielle à Paris, avant de tout plaquer pour retrouver Lille, sa terre natale. A presque 30 ans, elle reprend des études de modéliste et accomplit son "rêve de petite fille": J'avais des croquis plein la tête!

En 1998, elle a ouvert cet atelier cosy où elle reçoit ses clientes chics avec naturel, tout en écoutant leurs confidences. Constance habille les jeunes mariées lilloises de robes moulées sur leurs désirs (à partir de 7000F). Dessine des tenues de soirées, sexy fourreau noir (2500F) ou bustier d'organza (2800F). Toujours des matières nobles, des coupes impeccables. "Mais surtout pas de dictature de la mode chez moi!" dit-elle en souriant. Sage dans son propre look, Constance admire Saint Laurent, Gaultier l'exubérant, Kenzo l'Oriental. Si elle assassine d'un mot le milieu parisien de la mode, "trop futile", elle clame pourtant ses envies de grandeur. "J'adorerais pouvoir diffuser mes créations en prêt-à-porter, par exemple". En attendant, son carnet de commandes ne désemplit pas.

K.P.