Les journalistes de mode qui ont redige des  articles en redactionnel sur les creations de Constance Le Gonidec

CONSTANCE LE GONIDEC a bénéficié de publications en "rédactionnel", grâce à l'intérêt que son travail a suscité auprès des médias spécialisés dans la mode et le mariage. Ce sont les journalistes qui ont choisi de parler des créations de Constance et de publier ses modèles. Les publications de presse rédactionnelles sont une véritable reconnaissance. Bon nombre de talents passent à côté d'une valorisation médiatique et les revues de presse ne suffisent pas à donner l'étendue d'un cursus professionnel. Quoiqu'il en soit, c'est toujours un plaisir non dissimulé que de voir son travail apprécié et reconnu. Que soient remerciés ces journalistes sensibles à la beauté et qui la diffusent.

Les journalistes qui ont choisi de parler de Constance Le Gonidec

LA VOIX DU NORD, 6 déc. 2003

Illustration principale de LA VOIX DU NORD, 6 déc. 2003
Jour de l'inauguration de "Lille, capitale européenne de la culture"
qui durera toute l'année 2004,  ouverture des bals blancs.

La ronde blanche  La couturière

Dernier coup de fer avant la livraison. Les tailleurs en soie entoilés de Martine Aubry et de Catherine Cullen (adjointe à la Culture) sont fin prêts pour ce soir.
Ils sont l'œuvre de Constance Le Gonidec, installée place aux Oignons, dans le Vieux Lille et spécialisée dans les robes de mariées. L'idée de la maire de Lille et de son adjointe: faire ainsi connaître des créateurs - et donc cette styliste-modéliste-couturière, talent de la région.
Et pour être du Nord...Si Constance Le Gonidec revendique ses origines bretonnes, par son père, et le caractère bien trempé, c'est bien dans le Nord où elle est née qu'elle a appris son métier. Après le bac, elle suit en effet une formation de styliste en création textile à Roubaix puis d'infographiste textile à Tourcoing. Elle travaille alors dans le sentier à Paris sur la coloration des imprimés sur ordinateur. "Mais j'ai vite eu envie de passer de l'idée au produit" confie Constance. Elle reprend donc le chemin du Nord et de l'école pour suivre une formation de modéliste. Restait la couture. "Ça, je l'ai appris sur le tas, en glanant les conseils. J'ai dû monter énormément de vêtements avant de travailler pour une clientèle. Parce qu'est ce qu'un créateur tout seul? Un dessin. J'ai dû faire mes preuves comme couturière avant de m'affirmer comme créatrice". Après avoir travaillé chez elle puis dans un petit atelier à Fives, elle a trouvé ses murs loués par l'OPAC dans le Vieux Lille. "Si j'ai réussi c'est aussi grâce à l'aide que j'ai pu trouver pour créer mon entreprise dans le Nord".
Et ce soir sera forcément une fête.

Yannick Boucher